Ce fut une grande affaire pour moi et Florence qui marque cette annèe 2007. Ces travaux sont consécutifs, nous le pensons, aux sécheresses récurrentes des dernières années et notamment en 1991. Cette année-là, la commune de St Sauveur Sur Ecole fut déclarée en état de catastrophe naturelle. L'extension de la maison construite en 1976 subit quelques dégats sérieux et évolutifs qui nécessita une confortation des fondations. Après quelques sérieuses discussions avec l'assurance, celle-ci prit en charge les travaux uniquement sous l'extension ( 1993 ) malgré une recommendation de l'intervenant de le faire sur l'ensemble des bâtiments.

Suite à la sécheresse 2003, et comme prévu par l'intervenant précédent, ce fût au tour du bâtiment principal. Après 3 ans de discussions, de constitutions de dossiers, d'interventions trimestrielles, l'assurance accepta de reprendre les travaux complémentaires à son compte. Ce fût une grande victoire car elle n'était pas gagnée d'avance. Aussi, nous pensons beaucoup aux nombreux sinistrés en France qui n'ont pas cette chance ( globalement 60 % du territoire français est touché ) et pour plus d'information voir le site suivant (surtout pour les acquéreurs ou les candidats à la construction).

Vous trouverez ci-après des séries de photos quasi-quotidiennes qui permettent de revivre cette expèrience pour le moins remarquable en ce qui nous concerne.

Florence et moi, quand nous revoyons ces photos,  en sommes encore ébahis car le temps estompe les souvenirs à vive allure

Bon surf pour ceux qui auront le courage et la patience de défiler ces photos (+ de 600 ). Elles valent mieux qu'une description de ce que nous avons connu pendant ces quelques mois un peu pertubés

- pour les puristes et les techniciens, la description du procédé de mise en oeuvre

- durant  un mois  ( 6 janvier - 15 février ), les travaux d'approche

- puis du 15 février au 15 mars, la mise en place des micropieux

- du 15 avril au 30 juin, la remise en ordre

- une parenthèse en mai sur le nettoyage du toit

- en juillet,  la remise en état de l'environnement

- en novembre, la réfection du crépis

- et depuis mi-février 2008, le jardin reprend peu à peu figure "humaine". Les dernières photos sont de la fin de l'été 2008.